Ils sont drôle, pathétiques, tristes, ces vélos esseulés qui hantent nos villes. Ils interrogent : qui a pu les emmener là ? Pour aller où, plus tard ?
Quelques photos au hasard des visites et des découvertes. Des images qu'il m'a semblé bon de garder comme trace d'une présence fugace.
Travaux en studio. Modeler la lumière et garder le souvenir de la beauté est toujours un plaisir. Merci aux modèles qui m'ont fait confiance.